Nous retrouvons Ophélie là où nous l’avons laissé à la fin du tome 1 : au cœur de la Citacielle. Le 1er tome se terminait au Clairdelune, ce 2e tome prends de la hauteur car Ophélie rejoint la tour, et la cour, de Farouk où, encore plus qu’ailleurs dans la Citacielle, tout n’est qu’intrigues de Palais et illusions tapageuses et trompeuses.
Farouk, l’esprit de famille du Pôle, a mauvaise mémoire mais il est fasciné par son Livre et attiré par Ophélie. Tant et si bien qu’elle se retrouve rapidement bombardée vice-conteuse. Pas mal, non, pour une petite animiste à la maladresse pathologique ?!
Au Clairdelune, rien ne va plus : alors que le domaine d’Archibald l’ambassadeur est censé être une abri diplomatique et ‘’endroit le plus sécurisé de la Citacielle, certains invités de l’ambassadeur disparaissent dans d’étranges circonstances (étranges même au regard des critères de la Citacielle)…
Le monde de la passe-miroir est toujours aussi riche, l’intrigue s’étoffe et l’histoire gagne en profondeur. Bref, le premier tome était un coup de cœur, ce deuxième tome confirme mon impression première. Passionnant, drôle, étonnant… une saga impressionnante !
Retrouvez la critique de tous les tomes de la Passe-Miroir : - Les fiancés de l’hiver. - Les disparus de Clairdelune - La mémoire de Babel - La tempête des Échos
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