Rue de Paname
Une chanson des Ogres de Barback chantée ici avec Debout sur le Zinc (soit 1 air, 2 familles !)
Dans une rue de Paname Errant au bord de l’eau J’fumais mon Amsterdam Pour finir au bistrot Y avait la deux trois femmes Qui faisaient le tapin Moi j’aiguisais ma lame Pour planter les rupins
Les gens des bons quartiers Les touristes les vieillards Aiment bien se promener Le long des grands boulevards Ils achètent des souvenirs Des Tour Eiffel en plastique Les saltimbanques les font rire Mais faudrait qu’on leur explique
Qu’il y a de la merde partout De la drogue et surtout Des jeunes en galère Qui trafiquent la misère Ouais je dois bien avouer Que j’y passe toutes mes journées C’est que parfois Paris C’est la joie et la folie
Mais croyez moi bientôt Les flics auront du boulot Car tous les vagabonds Parlent de révolution Un jour toutes nos chansons Ouais vous désarmeront Il n’y aura plus que la folie La joie et l’anarchie La joie et l’anarchie La joie dans Paris …