Tous les ans, quand vient la rentrée, je suis toujours impatient de retrouver Amélie. La plupart du temps, elle me bluffe : je dévore son livre avec gourmandise et le finit avec bonheur… mais, de temps en temps, ça ne fonctionne pas.
Et bien, pour moi, cette année, ça n’a pas fonctionné :(
“Riquet à la houppe” raconte l’histoire de Déodat et de Trémière. Déodat est prodigieusement laid, Trémière est la beauté incarnée… évidemment, vous devinerez la suite… voire la fin.
(C’est une version revisitée d’un conte de Perrault qu’Amélie revisite… comme je n’avais qu’une idée vague du conte, je suis sans doute passé à coté de nombre de références… Est-ce que ça a joué ?)
Le style d’Amélie est toujours aussi riche, sa langue toujours aussi poétique, son vocabulaire toujours aussi précis… et pourtant, j’ai réussi à m’y ennuyer alors que le roman est particulièrement court… Dommage :(
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