Ça commence comme un roman de gare, par les récits croisés de la vie de 3 femmes :

  • Cécilia, l’épouse parfaite, présidente de l’association des parents, hyper-organisée et vendeuse vedette de Tupperware, épouse de John-Paul, mari impliqué et père attentionné (bref un couple qui aurait toute sa place à Wisteria Lane de la célèbre série “Desperate housewives”) - Rachel, la grand-mère meurtie dont la vie a basculé voici 20 ans lorsqu’on a retrouvé sa fille de 17 ans assassinée. Rachel ne retrouve vraiment la sérénité que lorsqu’elle elle s’occupe de son petits fils… sauf que son fils et sa bru prévoient de partir pour New-York et voilà son fragile équilibre retrouvé qui s’effondre. - Tess, la grande timide qui voit son monde s’effondrer lorsque son mari et sa cousine – qui est pour elle comme sa sœur et qu’elle n’a pas quitté plus de 20 jours depuis sa naissance – lui apprennent qu’ils sont tombés amoureux. Tess part immédiatement avec son fils pour retourner chez sa mère à Sydney (c’est à dire à coté de Cécilia et Rachel). L’occasion de faire le point sur sa vie et sur son couple.

Cécilia trouve, par hasard, dans son grenier une lettre de John-Paul “à n’ouvrir qu’après ma mort“… Faut-il l’ouvrir ? Quel est son terrible secret ? Évidemment, la curiosité sera la plus forte et on basculera bientôt dans une histoire complétement dingue, mêlant petits et grands secrets, questionnement sur la morale, les responsabilités et les conséquences des actes, des décisions et des priorités de chacune.

Un roman plaisant et agréable à lire, souvent drôle et finalement de plus en plus prenant au fur et à mesure que l’intrigue prends corps et que la lame de fonds du “secret du mari” les emportent toutes inexorablement.


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Couverture du livre Périphériques
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Périphériques
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3 sur 5 étoiles